PROJETS TERMINÉS
Adoc et UniCredit s’associent pour promouvoir une consommation responsable et durable
La question de la sauvegarde et de l’amélioration des conditions environnementales a été placée au cœur de l’Agenda 2030 des Nations unies à travers la définition des Objectifs de développement durable, dont l’un se concentre précisément sur la capacité à assurer des modes de production et de consommation durables, en promouvant les fameux 5 R des déchets – Réduction, Réutilisation, Recyclage, Collecte, Récupération – ainsi que des pratiques d’économie circulaire et de consommation responsable qui encouragent la population à utiliser les ressources naturelles de manière judicieuse et rationnelle et à réduire les déchets, également dans le but de réduire les inégalités existantes (un autre objectif de l’Agenda 2030 des Nations unies).
C’est sur cette base qu’est née l’idée du projet « Petits gestes durables », réalisé dans le cadre de Noi&UniCredit, le programme de partenariat entre la banque et 14 associations nationales de consommateurs auquel Adoc participe activement depuis 2005.
L’initiative vise à promouvoir la consommation durable et responsable, en fournissant des informations sur les avantages sociaux, environnementaux et économiques qui en découlent et en invitant les personnes à adopter un comportement vertueux, en réduisant les déchets.
Afin de promouvoir une culture de la durabilité auprès des consommateurs, trois pilules vidéo seront diffusées, dont les protagonistes (un athlète, un étudiant et un acteur) partageront leur approche de la durabilité, soulignant comment, grâce à de « petits gestes », il est possible de contribuer à une meilleure utilisation des ressources naturelles.
Tutoriel vidéo ATHLÈTE
Tutoriel vidéo de L’ACTEUR
Tutoriel vidéo pour ÉTUDIANTS
TIM : « EXPLOITER LA RÉSURGENCE NUMÉRIQUE » AUX CÔTÉS DES CONSOMMATEURS POUR DIFFUSER LES COMPÉTENCES NUMÉRIQUES
Séminaires en ligne gratuits avec Adiconsum, Adoc, Altroconsumo, Cittadinanzattiva, Codacons, Federconsumatori et U.Di.Con. pour s’informer sur le potentiel d’Internet et encourager une utilisation éclairée et sûre de celui-ci.
Éduquer les citoyens et les consommateurs à une utilisation consciente et sûre de l’internet afin de saisir toutes les opportunités et tous les avantages de la vie numérique en prévenant les principaux risques en ligne : de l’utilisation correcte des outils numériques pour la gestion de l’argent aux achats en ligne, en passant par les nouveaux modes d’accès à l’information, aux produits et aux services. C’est dans cette optique que démarrent, grâce au support des associations de consommateurs, les nouveaux cours de formation gratuits de l' »Operazione Risorgimento Digitale », la grande alliance promue par TIM et plus de 30 partenaires d’excellence des secteurs public, privé et à but non lucratif pour combler le fossé numérique culturel dans le pays.
En particulier, en collaboration avec Adiconsum, Adoc, Altroconsumo, Cittadinanzattiva, Codacons, Federconsumatori et U.Di.Con., le programme de formation « Consommateurs numériques, conscients et sûrs » débutera en novembre, avec des contenus et des webinaires gratuits destinés aux citoyens et aux consommateurs pour encourager une utilisation intelligente, sûre et consciente de la technologie.
Cette initiative renforce le partenariat entre TIM et les associations de consommateurs et sensibilisera le public à la manière dont les outils numériques peuvent améliorer concrètement les activités quotidiennes. Les consommateurs pourront tirer parti des possibilités offertes par le numérique grâce à divers domaines d’apprentissage et pourront également développer les compétences nécessaires pour se dépêtrer du marché numérique, éviter les pièges informatiques et prévenir les situations à risque, à commencer par la recherche d’informations fiables sur le web.
Une grande partie des webinaires sera consacrée à la manière d’accéder aux services de l’administration publique en ligne, en bénéficiant de droits et de services au format numérique pour les pratiques en matière de santé, de Sécurité sociale ou de cotisations, en commençant par les services mis à disposition par l’Agenzia per l’Italia Digitale, SPID et PagoPA. L’attention sera aussi portée sur le rôle de la famille, grâce à des webinaires destinés aux parents et visant à promouvoir une utilisation éclairée de l’internet et des appareils par leurs enfants. Enfin, l’accent sera également mis sur la lutte contre les « fake news », l’un des plus grands pièges d’Internet, surtout en période d’urgence collective où la peur peut alimenter la circulation de nouvelles infondées diffusées sans contrôle.
De plus amples informations sont disponibles sur le site de l’Operazione Risorgimento Digitale.
Les nouvelles activités de formation de l' »Operazione Risorgimento Digitale » menées en collaboration avec les principales associations de consommateurs confirment le rôle de TIM dans l’accélération de la diffusion des compétences numériques dans le pays. Il s’agit d’un engagement réalisé en synergie avec des partenaires de premier plan, parmi lesquels des entités publiques et privées, des associations professionnelles, le troisième secteur et des acteurs majeurs dans le domaine de l’innovation sociale, et dont les objectifs sont aujourd’hui partagés et promus par de nombreuses associations de consommateurs, à un moment de grande transformation où une plus grande capacité d’actualisation par tous les canaux de communication est nécessaire.
Le projet Safe Support découle de l’évidence que la pandémie de COVID-19 et les mesures de confinement qui en découlent, principalement l’éloignement et l’isolement physique, ont des conséquences néfastes sur la santé mentale de la population générale dans toute l’Italie, y compris les travailleurs de la santé. En particulier, la frustration, la solitude et les inquiétudes quant à l’avenir sont des réactions courantes et des facteurs de risque bien connus pour plusieurs troubles, notamment l’anxiété, les troubles affectifs, le syndrome de stress post-traumatique et l’épuisement professionnel.
Une équipe de psychologues est à votre disposition avec les services suivants :
– Groupe d’entraide
– Ligne d’assistance téléphonique pour le assistance psychologique
– Séminaires en ligne gratuits
Si vous voulez en savoir plus, visitez notre page Facebook.
Ces dernières années, les cas d’exploitation de la main-d’œuvre bon marché se sont multipliés. Les groupes les plus touchés sont les personnes faibles, les pauvres et, de plus en plus, les citoyens non européens, qui acceptent de travailler dans les pires conditions par simple nécessité. « Que pouvons-nous faire ? D’ailleurs, qui nous aide ? ! » Ce sont les questions que nous entendons tous les jours de la part de ceux qui vivent ce drame au quotidien. Et, que pouvons-nous répondre sans donner de faux espoirs ?
Le projet « Siamo Uomini o Caporali », financé par le ministère du Travail et des politiques sociales, est axé sur la lutte contre le « caporalato« , un phénomène qui enlève toute dignité au travail et mine les ressources des régions touchées par ce fléau. Le « caporalato » consiste à faire recruter, par des individus souvent liés à des organisations criminelles, des travailleurs qui sont transportés dans les champs (mais aussi, de plus en plus, dans des chantiers de construction ou des entreprises de fabrication) pour être mis à la disposition d’une entreprise. Les travailleurs sont souvent des personnes en grande difficulté économique et des immigrés clandestins sans permis de séjour. Ces personnes, qui sont en position de faiblesse, sont très peu payées, font de longues journées de travail fatigantes et sont souvent maltraitées, soumises à des violences et à des intimidations par les « caporali », les personnes qui gèrent le trafic de travailleurs. Les pratiques d’exploitation des « caporali » comprennent : la non-application des contrats de travail, un salaire de quelques dizaines d’euros par jour, des horaires de travail de 8 à 12 heures, la violence, le chantage, la rétention de documents, l’imposition d’un logement dans de mauvaises conditions d’hygiène, l’imposition d’un transport vers le lieu de travail effectué par les « caporali » eux-mêmes, ce qui coûte cher aux travailleurs. Le ministère du Travail a signé un protocole pour lancer une bataille spécifique et ciblée avec les régions et les associations professionnelles. Dans cette optique, le projet « Siamo Uomini o Caporali » (Nous sommes des hommes ou des caporaux) vise à offrir un assistance important aux personnes (immigrés, mais souvent aussi citoyens italiens) employées dans des travaux saisonniers, sous-payés et exploités, à travers des services d’information et d’assistance qui mèneront à la dénonciation du « caporal« , mais aussi des services d’intermédiation du travail, à travers la collaboration avec les entreprises qui souhaitent adhérer au projet, qui faciliteront l’intégration régulière dans le monde du travail. Le projet prévoit une campagne d’information et de sensibilisation pour la prévention du travail non déclaré, destinée aussi bien aux entreprises (outils de support pour le travail saisonnier régulier, contrats de travail réguliers activables, responsabilité sociale des entreprises, etc.) qu’aux travailleurs italiens et étrangers (droits et devoirs du travailleur, canaux de recrutement réguliers, accessibilité aux initiatives et aux services de facilitation du réseau du projet pour les travailleurs saisonniers, etc.)
Le projet « L’amore non ha lividi » vise à PRÉVENIR, INFORMER, SENSIBILISER et AIDER les femmes victimes de violence.
Concrètement, le projet veut mettre en œuvre des activités d’INFORMATION et de SENSIBILISATION en organisant des événements et en participant à des initiatives déjà lancées par des sujets avec lesquels Adoc collabore depuis des années et avec lesquels elle a construit un « réseau anti-violence ».
Ce réseau est constitué de centres anti-violence et de structures publiques, et ce projet vise à l’étendre davantage.
L’activité d’assistance, en revanche, sera réalisée par les centres d’écoute qui collabore avec Adoc et vers lesquels seront dirigés les consommateurs qui s’adressent à nos guichets.
Trop souvent, les incidents violents ne sont pas signalés parce que la victime craint pour sa sécurité physique et, souvent, pour celle de ses enfants.
L’obstacle le plus évident est d’éviter de savoir où aller, le manque de lieu et de personnes pour accueillir la victime et ses éventuels enfants.
L’obstacle le plus évident est de ne pas savoir où aller, le manque de lieu et de personnes pour accueillir la victime et ses éventuels enfants. C’est encore aujourd’hui le principal obstacle : ne pas avoir d’alternative. Le projet « L’amore non ha lividi » part de ces problèmes pour fournir aux victimes les outils dont elles ont besoin.
Projet « L’amore non ha lividi – Projet de prévention, de sensibilisation et de mise en œuvre d’un service national contre la violence à l’égard des femmes « financé par le ministère du Travail et des Politiques sociales, conformément à l’art. 12 ch. 3 let. f, loi n. 383/2000 – Exercice 2015
Projet « IO non alzo le mani – projet de prévention, de sensibilisation et de mise en œuvre d’un service au niveau national contre la violence envers les femmes » financé par le Ministère du Travail et des Politiques Sociales, en vertu de l’art. 12 c. 3 lett. f, loi n. 383/2000 – Exercice 2014
Le 25 novembre, journée mondiale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, le deuxième rapport sur les féminicides en Italie a été publié par Eures. Il montre que 179 femmes ont été tuées en 2013, soit une victime tous les deux jours. En comparaison à 157 en 2012, le nombre de femmes tuées a augmenté de 14 %. Le nombre de meurtres au sein de la famille a augmenté, de 16,2 %, passant de 105 à 122, tout comme ceux dans le cadre de la proximité, des relations de voisinage, de l’amitié ou du travail, passant de 14 à 22. Le nombre de femmes tuées par un crime est également inclus dans le calcul, 28 l’année dernière : il s’agit notamment de meurtres consécutifs à un vol, qui touchent principalement des femmes âgées. Toujours en 2013, 7 cas sur 10 (68,2 %, soit 122 en valeur absolue) de féminicides ont eu lieu dans le contexte familial ou affectif, ce qui correspond au chiffre de la période 2000-2013 (70,5 %). Avec ces chiffres, l’année 2013 présente le plus fort pourcentage de femmes parmi les victimes de meurtres jamais enregistré en Italie, soit 35,7 % des assassinés (179 sur 502).
Sur la base de ces chiffres, Adoc entend lancer le projet « Io non alzzo le mani » (je ne lève pas les mains) avec les objectifs suivants :
– Prévenir et combattre le phénomène de la violence à l’égard des femmes et apporter support et assistance aux femmes qui subissent des violences ;
– Sensibiliser les jeunes générations afin qu’elles reconnaissent et dépassent les conditionnements et stéréotypes sociaux et culturels liés au genre ;
– Sensibiliser le monde masculin au respect des femmes.
Grâce aux activités de :
– PRÉVENTION : réalisation d’une campagne de prévention dans les principaux lieux où se développent les formes de violence (écoles et familles) ;
– ASSISTANCE : par l’ouverture de guichets, la création d’un numéro vert et d’un portail web dédié sur lequel il sera possible de trouver toutes les informations particulièrement sur les centres anti-violence, les guichets Adoc et les structures publiques telles que les urgences des hôpitaux, les carabiniers, les postes de sécurité publique, les centres de conseil, les services sociaux et sanitaires.
– SUPPORT : création d’un réseau avec les structures locales concernées par le phénomène.
Ces dernières années, notre façon de communiquer a radicalement changé grâce à la diffusion massive des technologies numériques. Cependant, nous n’utilisons pas tous les sites web, les applications et les réseaux sociaux de la même manière : d’une part, il y a des enfants et des jeunes qui sont nés et ont grandi en même temps que le développement de nouveaux outils informatiques de plus en plus avancés, tandis que d’autre part, il y a des générations entières qui ont eu des difficultés (ou ne sont pas du tout capables) de gérer ces nouveaux moyens.
Le projet Care Sharing : une protection à la portée de tous est né de la volonté de protéger les consommateurs et les utilisateurs par le biais de services différenciés selon le type d’utilisateur : il s’agit d’un projet conçu pour vous et pour vos besoins quotidiens, qui découle de la volonté de vous informer de vos droits et de vous offrir une assistance globale par le biais de divers outils, afin que vous puissiez choisir le service et les moyens à utiliser en fonction de vos besoins.
Dans une société où le rythme est effréné et où le temps semble ne jamais être suffisant, même la résolution d’un petit problème avec une facture de gaz ou une inefficacité banale de la part d’une compagnie de téléphone peut entraîner des difficultés inattendues. Il est essentiel de disposer d’un maximum de moyens pour résoudre les complications de la vie quotidienne. C’est pourquoi nous avons conçu des initiatives visant à diffuser le plus grand nombre possible de nouvelles et d’informations utiles sur des sujets de grand intérêt : des problèmes du secteur énergétique aux inefficacités du secteur touristique, des questions vitales de santé, d’hygiène et de nutrition aux pratiques commerciales déloyales dans le domaine de la téléphonie.
De nombreux difficultés quotidiens peuvent être évités grâce à une information correcte : n’oubliez pas que plus vous êtes informé, plus il est facile d’éviter la fraude et la tromperie. Cependant, il est évident que même un citoyen informé et conscient peut rencontrer des mésaventures : c’est pourquoi nous vous offrons protection et conseils à travers une variété d’outils, afin de rendre l’accès à nos services simple et facile. Que vous souhaitiez utiliser l’APP gratuite, interagir avec nous via les réseaux sociaux, utiliser le guichet en ligne sur notre site web ou préférer le guichet physique sur demande, nous serons là pour vous fournir toute l’assistance dont vous avez besoin.
Pour en savoir plus, visitez le site web de notre projet www.sportellocaresharing.it !
La loi de stabilité de 2016 (loi n° 208/2015) a modifié la réglementation relative à la redevance télévisuelle pour les abonnements dans le secteur privé.
Cette législation prévoit que la redevance ordinaire est due par toute personne qui possède un appareil capable de recevoir ou adaptable pour recevoir des émissions de télévision. La possession de l’appareil est présumée s’il existe un service public de distribution d’électricité au lieu où la personne a sa résidence enregistrée. La redevance est payée par le débit de la facture d’électricité émise.
Ces derniers mois, tant les différents règlements qui se sont succédé que les informations diffusées par les médias ont semé la confusion chez de nombreux utilisateurs. De nombreux Italiens craignent de commettre une erreur lors d’une demande d’exemption, d’une déclaration de non-détention ou d’une demande de remboursement.
Compte tenu de la nécessité de transparence et de clarté, et afin de protéger les consommateurs contre les informations incomplètes ou incorrectes, le projet « TiVuoiINFOrmare » a été mis en place par CTCU – Centro Tutela Consumatori Utenti, Adiconsum et Adoc.
L’objectif du projet est de fournir un service d’information, d’assistance et de conseil aux consommateurs sur la nouvelle réglementation concernant le paiement de la redevance TV sur la facture d’électricité et sur les obligations à remplir en fonction de leur propre situation.
Le projet prévoit l’activation d’un réseau de 66 compteurs physiques, qui sont déjà présents et répandus dans tout le pays dans chacune des 20 Régions.
Les services fournis par les guichets physiques seront également accessibles par des outils en ligne (également en allemand – tivuoinformare@adiconsum.it et tivuoinformare@centroconsumatori.it) et par le numéro vert.
Enfin, toutes les activités du projet seront diffusées par le biais des sites web des associations et des posts et tweets sur les pages Facebook et Twitter d’Adiconsum, Ctcu et Adoc.
La loi 199 de 2016 représente un tournant important sur la question du “caporalato” (travail forcé), qui a introduit une série d’innovations, notamment en matière de répression du phénomène. À notre avis, cette loi, qui a déjà donné des résultats importants, peut être soutenue par une série d’activités concernant l’aspect préventif, pour essayer d’empêcher les travailleurs d’entrer dans l’entreprise d’exploitation. Le projet « La légalité rend libre » vise à mettre l’accent sur la prévention, notamment en fournissant davantage d’informations sur les droits des travailleurs et les formes de protection, en offrant un support dans la gestion des activités de formation et d’information, y compris par le biais de contacts avec les centres d’accueil, en encourageant la mise en œuvre des accords de transport, en favorisant l’implication des centres pour l’emploi dans l’adéquation entre l’offre et la demande, et en promouvant des formes de récompense pour les entreprises saines.
Enfin, pour obtenir des résultats concrets, il est essentiel de travailler à la responsabilisation de la chaîne agroalimentaire ainsi que du consommateur final. L’objectif est donc de promouvoir une chaîne d’approvisionnement dite « éthique » en favorisant les entreprises qui opèrent dans le respect des travailleurs étrangers et de la main-d’œuvre étrangère.
L’internet et les technologies numériques modifient progressivement nos modes de vie, transforment nos habitudes de consommation et notre façon de travailler, et sont devenus très présents dans nos vies privées et professionnelles. Aujourd’hui, les possibilités offertes par le web sont nombreuses et concernent tous les domaines, depuis la possibilité de commander des produits d’épicerie en ligne, plutôt que des livres scolaires, des produits électroniques ou des meubles, jusqu’à l’activation de contrats de fourniture de services, plutôt que de réserver des visites médicales ou de communiquer avec l’administration publique.
Le fait d’avoir un hypermarché mondial à portée de main offre des opportunités considérables pour le consommateur, en augmentant le choix et la commodité. Dans le même temps, cependant, une utilisation négligente de la technologie peut cacher de nombreux risques.
La Commission européenne a proposé la création d’un marché unique numérique comme priorité pour assurer la protection et l’uniformité au niveau de l’UE.
Le projet « e-RA DIGITALE : il consumatore incontra il web » (e-RA DIGITALE : le consommateur rencontre le web) – mis en œuvre par les associations Adoc, Adusbef et Federconsumatori, et financé par le ministère du développement économique – s’inscrit dans ce contexte, dans le but de protéger les utilisateurs, dans le rôle de consommateurs, des risques découlant de l’utilisation incorrecte des technologies numériques et des transactions économiques effectuées en ligne.
Avec e-RA DIGITALE, Adoc, Adusbef et Federconsumatori mettront en œuvre une série d’activités différentes pour différentes catégories d’utilisateurs, des plus jeunes aux moins jeunes, dans le but d’éduquer les consommateurs à une utilisation consciente et informée des plateformes numériques, en les sensibilisant aux droits et aux formes de protection déterminés par le développement et la diffusion du commerce électronique. Comment ? Grâce à une campagne d’information innovante et à fort impact qui éduque le consommateur également par le biais du jeu et de l’amusement, grâce à un service d’assistance en ligne accessible à partir du site web du projet et grâce à des activités de formation.
En outre, e-RA DIGITALE a un autre objectif, celui de briser les barrières technologiques et cognitives de la partie de la population qui est « exclue » du web, en favorisant l’accès au marché numérique à travers nos points d’accès web situés dans tout le pays.
Pour de plus amples informations et des mises à jour sur les activités d’e-RA DIGITALE, visitez le site web du projet www.e-radigitale.it.
Réalisé dans le cadre du projet e-RA DIGITALE, financé par le ministère du Développement économique (DM 7 février 2018).
Les activités d’assistance, de conseil, de formation et d’information promues dans le contexte de la mise en œuvre du projet e-RA DIGITALE sont fournies gratuitement.
Le fait d’avoir un hypermarché mondial à portée de main offre des opportunités importantes pour le consommateur, en augmentant le choix et la commodité. Dans le même temps, cependant, une utilisation négligente de la technologie peut cacher de nombreux risques.
La Commission européenne a proposé la création d’un marché unique numérique comme priorité pour assurer la protection et l’uniformité au niveau de l’UE.
Dans ce contexte, le projet « e-RA DIGITALE : le consommateur rencontre le web », dans le but de protéger les utilisateurs, en qualité de consommateurs, des risques découlant de l’utilisation incorrecte des technologies numériques et des transactions économiques effectuées en ligne.
Avec e-RA DIGITALE, Adoc, Adusbef et Federconsumatori, établiront une série d’activités différenciées par catégories d’utilisateurs, des plus jeunes aux moins jeunes, afin d’éduquer les consommateurs à une utilisation consciente et informée des plateformes numériques, en les sensibilisant concernant l’exercice des droits et aux formes de protection déterminées par le développement et la diffusion du commerce électronique. Comment ? Grâce à une campagne d’information innovante et à fort impact qui éduque le consommateur également par le biais du jeu et de l’amusement, grâce à un service d’assistance en ligne accessible à partir du site web du projet et grâce à des activités de formation.
En outre, e-RA DIGITALE a un autre objectif, celui de briser les barrières technologiques et cognitives de la partie de la population qui est « exclue » du web, en favorisant l’accès au marché numérique à travers nos points d’accès web situés dans tout le pays.
Pour de plus amples informations et des mises à jour sur les activités d’e-RA DIGITALE, visitez le site web du projet www.e-radigitale.it.